Fin de partie de Beckett

Cette deuxième grande pièce de Samuel Beckett, après En attendant Godot, est peut-être la plus difficile à représenter. Elle est peut-être trop beckettienne dans sa facture où tout a allure d'emblème et porte rigoureusement la marque de fabrique de son auteur : une maison fermée sur elle-même, un aveugle paralysé qui commande avec sadisme à un esclave aussi pitoyable que lui, un père et une mère logés chacun dans une poubelle et autorisés à manger et à parler de temps en temps. Les journées...


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Raffaela Pflüger