Orphée et Eurydice de Christoph Willibald Gluck

On le sait depuis longtemps, au théâtre comme à l'opéra le metteur en scène italien Romeo Castellucci cultive l'art de débusquer les faces cachées d'une œuvre. Tantôt en extravagance, tantôt en acuité sidérante. Celle, tracée au laser, qu'il vient d'exercer à la Monnaie de Bruxelles sur Orphée et Eurydice de Gluck dans la version française révisée par Berlioz en 1859 est tout simplement sidérante. Sur cette même scène il avait mis sur orbite de l'irréel Parsifal de Wagner avec des paysages et des (...) - Critiques / Opéra & Classique

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Raffaela Pflüger