Après le régal qu'avait été il y a tout juste un an Marouf savetier du Caire (voir WT 3750) , on attendait avec curiosité le réveil de cette autre fantaisie orientalisante qu'est Ali-Baba de Charles Lecoq. Un orchestre en bonne forme, des jolies voix, des belles présences clownesques n'ont pas suffi pourtant à ouvrir le sésame de la réussite. En cause, une mise en scène maladroite et d'interminables changements de décors.
Charles Lecoq (1832-1918) compositeur ès divertissements, marchant sur les (...)
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Critiques
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Opéra & Classique