Le dernier jour du jeûne de Simon Abkarian

« Si tu veux parler du monde, parle de ton village » disait Tchekhov. C'est d'un quartier, sinon marseillais, du moins situé sur les bords de la méditerranée, que s'installe Simon Abkarian, pour, dans un grand éclat de rire, en découdre avec un monde « capillaire et testiculaire » où « les filles doivent apprendre à obéir et à se taire ». Second volet d'un cycle où s'emmêlent tragédie antique et vie d'aujourd'hui, commencé avec Pénélope ô Pénélope, Le Dernier jour du jeûne (Ed Actes Sud-Papiers), celui où (...) - Critiques / Théâtre

Lire la suite ...


Raffaela Pflüger