Il s'était fait déclarer souffrant avant le début du spectacle et ce n'était sans doute pas une simple esquive mais peut-être le résultat de cette douleur qu'on appelle le trac. Car, réapparaître sur la scène de l'Opéra National de Paris, dans un rôle où Jonas Kaufmann triompha il y a tout juste 4 ans (voir WT 2153 du 28 janvier 2010) devait forcément éveiller des barbouillis au creux du ventre. Et de fait - « je ne sais si je veille ou si je rêve encore… » – son premier air fut empreint d'une sorte de (...)
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Critiques
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Opéra & Classique