MANFRED de Robert Schumann

Quand une œuvre s'autoproclame « irreprésentable », l'envie de la présenter et représenter – malgré elle – peut-être un enjeu attrayant. Surtout quand elle est née de l'imagination de deux des plus grands représentants de la littérature et de la musique de l'ère romantique, Lord Byron pour les mots, Robert Schumann pour les notes. Encore faut-il les apprivoiser l'un et l'autre. Manfred « poème dramatique » en trois parties et quinze monologues fait partie de ces enjeux à risque. L'Opéra Comique a fait le (...) - Critiques / Opéra & Classique

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Raffaela Pflüger