Dramuscules de Thomas Bernhard

« C'est pour le bonheur de retrouver Judith Magre et Catherine Salviat, et leur offrir la volupté d'un parcours d'une monstruosité sidérante », que Catherine Hiégel, invitée au Théâtre de Poche, a choisi quelques-uns des Dramuscules de Thomas Bernhard (1931- 1989). Elle a bien fait et visé juste. Tout à la fois grotesques et terrifiantes, clownesques autant que pathétiques dans leur certitude imbécile, ces deux-là, avec l'efficace complicité d'Antony Cochin, donnent tout leur jus vitriolé aux mini (...) - Critiques / Théâtre

Lire la suite ...


Raffaela Pflüger