C'est le dernier opéra du prince du bel canto, Vincenzo Bellini (1801-1835), une œuvre au souffle dense sertie d'airs de bravoure. Pas sa meilleure. Loin de son chef d'œuvre Norma ou de ses Capulet et Montaigu… La faute au livret ? Bellini fâché avec son librettiste Felice Romani, s'était tourné vers Carlo Pepoli, poète moins doué pour ce type d'écriture. Celui-ci adapte en dialogues un rien pompiers un roman de Walter Scott (Old Morality), une histoire noire sur fond d'Histoire, dans l'Angleterre de (...)
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Critiques
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Opéra & Classique