Les amoureux de Berlioz sont souvent dépités ou désespérés à la fin des concerts au cours desquels est jouée la musique de leur héros. Celle-ci exige de telles qualités en effet que la déception, routine ou incompétence oblige, est la plupart du temps au rendez-vous. Il arrive a contrario qu'un interprète d'exception fasse sien le message de Berlioz (il doit « sentir comme moi ») et réveille la beauté contenue dans le livre des merveilles. C'est ce qui s'est produit par deux fois, Salle Pleyel, en (...)
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