Il y a Verdi, il y a aussi Wagner, dont on célèbre cette année le bicentenaire de la naissance. Il y a même Britten, né en 1913, un peu oublié au jeu des anniversaires. Il y a enfin Poulenc, mort en 1963, musicien français dont la place dans l'histoire reste ambiguë. Célébré au début des années 20 comme un musicien novateur, Poulenc a vu trente ans plus tard advenir une nouvelle avant-garde : celle des jeunes compositeurs qui, dans la foulée de Schoenberg et Webern, imposeront le langage sériel. (...)
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